(start a flame in the heart of the night)

the light is coming
(family business) On ne choisit pas sa famille. Et il est bien vrai. Car si tu avais pu choisir ta famille, tu n’aurais pas choisi celle dans laquelle tu es tombée. Tu es la petite dernière Alison, celle qui aurait dû être chérie et chouchoutée. Cependant, ça n’a jamais été le cas, sauf par ton frère. On pourrait croire que tu viens d’une famille banale, comme il en existe un peu partout dans le monde. Pourtant, il n’y a jamais rien eu de banal. Un père trop exigeant, ne manquant pas de te rappeler à l’ordre quand il en avait l’occasion. Et une mère devenue distante une fois ta dixième année passée. Alors t’as fini par te retrouver presque seule Alison, essuyant les coups de ton père, devant une mère bien trop peureuse, un frère ne pouvant à peine se battre contre cet homme et une soeur partie depuis bien longtemps. Un père bien trop saoul presque tous les soirs. Et tu t’es débrouillée seule la gamine, avec l’aide de ton frère, comme si on vous avait abandonnés à votre triste sort, alors que les factures venaient à s’accumuler un peu trop sous le toit des Hawths. Et puis ton père a fini par être jeté en prison suite au courage de ton frère. Un frère que tu ne remercias jamais assez. Un frère pourtant parti, t’ayant promis qu’il serait toujours là. (cuts like a knife) La médecine a toujours été une évidence pour toi. T’as toujours été celle qui s’occupait des autres, tant à la maison que dans les cours de récréation. T’aimes pas ne pas porter secours lorsque tu vois quelqu’un de blessé. Alors t’as bataillé Alison, t’as tout fait pour avoir des notes exemplaires, te tuant presque à la tâche pour entamer des études dans ce domaine. Et t’as fièrement réussi à atteindre l’un de tes buts. T’es maintenant à la Med School, et tu réalises un stage au West District Hospital. Ça te passionne, tu donnes toutes tes tripes pour être la meilleure, et après des meilleurs. T’aimerais te spécialiser en pédiatrie, car les enfants et toi, c’est une grande histoire d’amour. Seulement récemment, t’as fait une erreur Alison, et t’oses pas te l’avouer. Ni l’avouer tout court. Ça te fait bien trop peur. T’as peur qu’on te renvoie, que tu ne puisses plus continuer. Alors c’est ton meilleur ami qui a pris pour toi, qui s’est jugé coupable pour cette erreur de débutant que même un enfant ne ferait pas. Tu te sens mal vis-à-vis de lui, car il ne peut plus venir aussi souvent. T’as envie de dire la vérité. Oh oui tu en as envie. Mais t’es trop couillonne pour le faire. (viva la vida) T’es cette artiste dans l’âme, celle qui ne peut pas vivre sans cette passion qui te dévore l’esprit, cette passion qui te transporte dans une faille temporelle jusqu’à te déchirer. Tu ne sais pas d’où tu la sors cette passion, mais tu en es fière. Fière d’être cette amoureuse des livres, d’être celle qui se laisse transporter par un tableau et une note de musique particulière. Alison, t’es celle qui se réfugie dans ses écrits lorsque la vie devient dure. Celle qui passe des heures dans les galeries d’art ou les musées, à essayer de comprendre les nuances des moindres coups de pinceau, des moindres fragments d’une statue. Toutes ses passions te prennent aux tripes et t’arrives jamais à expliquer vraiment pourquoi t’aimes toutes ces choses. Ça fait partie de toi. Mais t’es fière, car de ta passion t’as réussi à en faire une partie de ton métier. Toi cette musicienne déchue, cette artiste cachée et presque oubliée.

› en vrac.
Tu souris à la vie comme tu souris poliment aux gens. T’es cette gamine qui profite de la vie, qui vit comme bon te semble et qui, au fil du temps, à su se forger son propre caractère. Faut pas t’ennuyer Alison, car tu peux aisément sortir les crocs et attaquer. T’as pas peur de ça. Puis faut dire que t’es assez rancunière comme fille, tu ne pardonnes pas facilement. T’es une bout entrain, ce genre de nana qui rigole à pleines dents, mais qui t’enfoncera si nécessaire. Bien sûr que non t’es pas méchante, y a pas plus adorable que toi. Mais cette fille du lycée, celle qui n’osait pas prendre la parole, celle qui préférait rester dans son coin, a décidé de prendre son envole pour être celle que tu es aujourd’hui : une jeune femme responsable, affirmée, talentueuse, déterminée et pleine de vie. › T’as une passion - une de plus - pour le cinéma Alison. T’es une cinéphile dans l’âme, celle qui passerait sa journée au cinéma. Nouveautés ou anciens films, t’es pas chiante, tu regardes tout. Et tu connais tout. Ou presque. Peu de gens arrivent à te battre lors de soirées portées sur ce thème. › T’as beau être une fille et à te comporter comme tel, ce n’est pas pour cette raison que tu n’aimes pas le sport. Le vrai sport. Le sport d’hommes. T’adores t’affaler dans ton canapé, pizza en main et bouteille de bière sur la table basse. T’es une mordue de baseball et de football américain. Tu ne rates que très rarement un match et ça ne te dérange aucunement de les regarder seule. Faut dire que si on te voyait, on te prendrait pour une fille : casquette, vareuse et gadgets, tu y vas fort. › T’as essayé d’être végétarienne, même d’être vegan. Mais tout ça, ce n’est pas pour toi. Même si la cause animale te touche, même si tu sais qu’il y a beaucoup de cruauté envers ces braves bêtes, t’es une adepte de la viande, la bonne. T’es fan du barbecue, tu te rends un peu trop souvent au Original Uncle Tom’s Barbecue mais ça, tu le caches bien. Seule ta poubelle pourrait te trahir. › Accro à la caféine, vaut mieux pas t’adresser la parole le matin. Non pas que tu te lèves de mauvais pied, mais tu marmonnes dans ta barbe les réponses aux questions que l’on te pose. T’as besoin de ta dose, de ta drogue. Et même si t’adores le café, que tu peux en boire une grosse quantité en une journée, tu détestes tout ce qui en est à base. › Dans ton sac se trouve toujours un carnet dont tu ne te sépares jamais. C’est la première chose que tu penses à prendre lorsque tu quittes ton appartement. Tu ne considères pas ça comme un journal intime, mais tu y notes toutes tes pensées les plus profondes. Tu les couches sur ce papier nu de toute trace. Et toutes tes pensées, tu les transformes. En poème, en chanson. Parfois même en dessin. Tu laisses ton esprit prendre possession de ton corps le temps de coucher tout ce que tu n’oses pas dire. › Tu vis seule Alison, dans cet appartement un peu trop grand pour toi. T’as hésité à chercher un ou une colocataire, mais tu ne sais pas si la cohabitation arrivera à se faire. Car t’es pas la plus facile à vivre, t’es assez maniaque quand tu le souhaites. › T’es un peu garçon manqué, tu l’as toujours été. T’es pas une adepte des robes ni des talons, car ça ne te représente pas. Tu te sens bien mieux dans un jeans surplombée d’une veste en cuir. Tu préfères même sortir son skateboard plutôt que de prendre un taxi ou le métro. › T’as un petit appareil photo que tu aimes prendre avec temps de temps à autre. T’aimes te perdre dans Miami et contempler la vie des gens. Clic clac, tu photographies ces quelques instants volés. Action, tu filmes ces moments dérobés. › T’as peur des animaux Alison et ça non plus, tu ne sais pas l’expliquer. Même un adorable chaton pourrait te faire reculer. T’aimes pas les mouettes, t’as une peur bleue des araignées et des requins, tu changes de trottoir lorsque tu croises un chien. Non tu ne trouves pas un lapin ou un hamster mignon. Les animaux, ce n’est pas pour toi. › T’es aveugle depuis bien longtemps sur l’amour que te porte ton meilleur ami. Tu sais qu’il ferait tout pour toi, et ça te touche. Tu l’aimes, certes. Mais comme ami. Du moins c’est ce que tu crois Allie. Tu ne fais pas attention aux frissons que tu as lorsqu’il te prend dans ses bras, si à tes joues qui deviennent rouges et brûlantes lorsqu’il te regarde un peu trop intensément. Tu fais comme si de rien n’était, car en réalité, t’as juste trop peur de le perdre.

Ta couleur préférée est le bleu ainsi que toutes ses nuances. Par contre, tu détestes le jaune. — Tu adores les pizzas pepperoni, comme bon nombre d’américain. — T’es une militante pour les droits de la femme et tu n’as pas peur de le cacher. — Tu n’es pas très réseaux sociaux, même si tu pourrais passer des heures sur Instagram. — Mordue d’informatique, tu sais coder et adores la suite Adobe que tu maîtrises assez bien. — Une fois que tu te mets à parler, personne ne sait vraiment t’arrêter. Tu détestes quand on te coupe la parole d’ailleurs. — Tu caches bien le fait que tu portes des lunettes pour lire ou quand tu es sur l’ordinateur. — Tu adores les chips goût barbecue. — Tu rêves de voyager avec un simple sac à dos et ton appareil photo autour du coup. — T’aimes pas trop l’océan, ça te fait peur. — Tu adores chanter à tue-tête sous la douche, même si tu chantes mal. — Tu n’as jamais eu beaucoup d’amis, mais ça ne t’a jamais dérangé. — Les couchés de soleil te fascine. Tu ne manques une occasion pour les admirer de la plage. — Ta saison préférée est le printemps, lorsque tout se remet à bourgeonner et à reprendre vie. — Tu fronces les sourcils et pinces les lèvres quand tu réfléchis. — Tu aurais aimé avoir un grand frère ou une grande soeur. — Tu tombes difficilement amoureuse. Tu te demandes même si tu l’as déjà été une fois. Car non, être attachée ne veut pas dire aimer. — Il te faut toujours des heures avant de répondre à un sms. — Tu prends parfois des décisions bien trop vite sans prendre le temps de réfléchir. — On dit souvent que tu as un rire de phoque. — Bien que très gourmande, tu as horreur de la nourriture asiatique, que ce soit de la nourriture chinoise, japonaise ou autre. Cependant, tu raffoles des sucreries. — T’es une vraie amatrice de bière. — Tu possèdes une belle collection de vinyles. — Tu sais pas trop si tu te marieras un jour ou si tu auras des enfants. Tu te dis que tu as encore tout le temps pour réfléchir. — T’aimes pas les gens constamment en retard, c’est vraiment quelque chose qui t’insupporte et t’horripile. — T’aimes pas quand les choses stagnes et n’avancent pas alors tu prends très souvent le taureau par les cornes. — Il est rare de te voir demander de l’aide à quelqu’un, ayant une certaine fierté et préférant te débrouiller par toi-même avant tout. — Toujours un peu gamine dans l’âme, tu adores les Disney. À vrai dire, tu les connais même presque tous par coeur.